Le Tour du Massif Forestier de Fontainebleau (TMF) constitue un itinéraire de randonnée emblématique dans le département de Seine-et-Marne (77), à quelques kilomètres de Paris. S'étendant sur environ 80 kilomètres, ce parcours enveloppe le massif forestier de Fontainebleau, offrant aux randonneurs une immersion totale dans un environnement naturel riche et varié. Le parcours est soigneusement balisé pour assurer la sécurité et le confort des marcheurs. Il est recommandé aux personnes souhaitant entreprendre cette randonnée de se préparer de manière adéquate avant leur départ.

Concernant mon expérience, j'ai effectué ce circuit d'abord en 2002, puis à nouveau en 2003 en  17h00.

Pour obtenir des informations complémentaires sur ce parcours, des documents spécifiques sont accessibles à l'Office du Tourisme de Fontainebleau ou via Internet .

 

 En France, une diminution significative du nombre de bénévoles suscite des préoccupations au sein du secteur associatif, pouvant être qualifiée de véritable pénurie. Ce phénomène peut s'expliquer par plusieurs facteurs. Tout d'abord, les modes de vie contemporains, souvent dynamiques et chargés, offrent peu d'opportunités pour un engagement bénévole. De surcroît, l'impact de la pandémie de COVID-19 a considérablement entravé les activités de nombreuses associations, dissuadant de potentiels volontaires.

Les jeunes générations, désireuses de s'engager dans des actions qui résonnent avec leurs valeurs personnelles, privilégient des initiatives concrètes et significatives. Cela rend le processus de recrutement plus complexe pour certaines structures traditionnelles. Parallèlement, le vieillissement de la population pose des défis, de nombreuses associations dépendant de bénévoles plus âgés, qui peuvent s'avérer moins disponibles.

Face à cette situation préoccupante, de nombreuses initiatives émergent afin de revitaliser le bénévolat. Celles-ci visent à attirer un nouveau public par le biais de propositions adaptées et diversifiées. Les acteurs du secteur espèrent ainsi réactiver l'engagement citoyen et répondre aux besoins croissants de solidarité au sein de notre société.

La Vélodyssée connaissez-vous ?

La Vélodyssée est un itinéraire cyclable de 1 200 km le long de la côte atlantique de la France, reliant Roscoff à Hendaye. Faisant partie de l'EuroVelo 1, elle offre des paysages variés et des sites culturels, tout en étant adaptée à tous les niveaux de cyclistes.

Avant de se lancer dans ce périple, il convient de se poser plusieurs questions essentielles.

-Quelle est la durée nécessaire pour parcourir La Vélodyssée ? Il faut compter environ 3 à 4 semaines pour réaliser l'intégralité de l'itinéraire de La Vélodyssée. Toutefois, cette durée peut varier en fonction du rythme de chacun et des pauses que l'on souhaite faire.

-La Vélodyssée est-elle adaptée aux familles ? Absolument ! Certaines sections, particulièrement accessibles et sécurisées, conviennent parfaitement aux familles. C’est notamment le cas des tronçons situés en Vendée et dans les Landes.

-Doit-on utiliser un type de vélo spécifique pour cet itinéraire ? Il est conseillé d'utiliser un vélo tout chemin (VTC) ou un vélo tout terrain (VTT) pour mieux s'adapter à la diversité des surfaces rencontrées le long du parcours.

-Quelles sont les possibilités de transport de son vélo en train ? La plupart des grandes villes le long du parcours, comme Nantes, Bordeaux ou La Rochelle, permettent de voyager avec son vélo en train. Certains trains TER et Intercités disposent de zones dédiées aux vélos.

-Est-il possible d'effectuer La Vélodyssée par étapes ? Oui, de nombreux cyclistes optent pour un parcours en plusieurs segments, en fonction de leurs disponibilités et de leur condition physique. Il est facile de rejoindre ou quitter l’itinéraire à divers endroits, grâce aux services de train.

- "Il existe dans le commerce des revues spécialisées qui pourront vous apporter des informations plus détaillées et précises concernant ce sujet.

Maintenant que vous êtes armé de toutes ces informations, je vous souhaite un bon voyage".

L'acceptation des vélos électriques (VAE) dans les clubs dépend généralement des règles spécifiques à chaque club. Voici quelques points à considérer :

Certains clubs peuvent avoir des règlements qui interdisent ou limitent l'utilisation des vélos électriques, tandis que d'autres les acceptent sans problème.

Dans les clubs orientés vers le cyclisme de compétition, les VAE peuvent être moins acceptés, car ils ne correspondent pas aux critères de performance stricts. En revanche, dans les clubs axés sur les loisirs ou le cyclotourisme, les VAE sont souvent bienvenus.

Les clubs qui acceptent les VAE peuvent également avoir des protocoles pour assurer la sécurité de tous les membres et intégrer les cyclistes de différents niveaux.

Il est toujours préférable de contacter directement le club pour connaître leur politique sur les vélos électriques.

En résumé, l'acceptation des VAE dans les clubs varie, donc il est important de vérifier auprès de chaque club en particulier.

*Atouts :

- Capacité de chargement : Elles permettent de transporter davantage de matériel, parfait pour le camping et les périples prolongés.

- Stabilité : Elles offrent une meilleure tenue sur des terrains accidentés, surpassant un chargement directement sur le vélo.

- Maniabilité : Elles sont plus faciles à manœuvrer dans les zones restreintes.

- Confort : Elles assurent une répartition équilibrée du poids, rendant la conduite plus agréable.

- Flexibilité : Leur système d'attache et de détache est rapide et pratique, selon les besoins.

* Inconvénients :

- Poids supplémentaire : Elles alourdissent le vélo, rendant la maniabilité plus complexe, en particulier dans les montées.

- Coût : Elles représentent un investissement supplémentaire, surtout pour les modèles de qualité supérieure.

- Encombrement : Leur rangement peut poser problème une fois inutilisées.

- Largeur accrue : Elles augmentent les dimensions du vélo, compliquant ainsi la circulation dans des espaces restreints.

- Entretien : Elles exigent un suivi régulier, notamment pour les pneus et le système de fixation.

En conclusion, le choix d'une remorque doit être basé sur les besoins spécifiques de chaque cycliste, la distance à parcourir et le matériel à transporter.

- "Pour ma part, j'ai une remorque de voyage (photos ci-dessous) , elle est parfaite pour mes longues balades à vélo ou faire mon marché à proximité de mon domicile C'est un peu comme emmener ma maison avec moi, mais en version légère" .

Le 'Paris-Brest-Paris'  à vélo est une épreuve de randonnée cycliste de longue distance,  qui relie Paris à Brest, puis revient à Paris. C'est l'une des plus anciennes épreuves cyclistes au monde, ayant été créée en 1891.

Voici quelques points clés à propos de cet événement :

- Distance : Le parcours total fait environ 1 200 kilomètres .

- Durée : Les participants doivent compléter le parcours dans un délai de 90 heures

maximum, ce qui nécessite une planification minutieuse et une endurance considérable.

- Régularité : Bien qu'il s'agisse d'une épreuve non compétitive, les cyclistes sont encouragés à respecter un rythme régulier et à s'arrêter à des contrôles pour faire tamponner leur carte de route.

- Participants : L'événement attire des cyclistes de tous niveaux, allant des amateurs  aux cyclistes chevronnés, et il se déroule tous les quatre ans. La prochaine édition aura lieu du 22 au 26 août 2027, organisé est l’Audax Club Parisien.

Participer à Paris-Brest-Paris (PBP), nécessite une certaine préparation. Voici les étapes clés pour vous inscrire et participer :

1. Préparation physique : Entraînez-vous suffisamment avant l'événement. PBP demande une bonne condition physique, car il s'agit d'une randonnée de longue distance. Planifiez des sorties longues et intégrez des périodes de récupération.

2.  Qualifications : Pour participer, vous devez avoir terminé un certain nombre de brevets de randonnée (BRM) organisés par des clubs de cyclisme. Il est requis de compléter des brevets de 200, 300, 400 et 600 km.

3. Inscription : Une fois que vous avez terminé vos BRM, vous pouvez vous inscrire sur le site officiel de PBP, qui est généralement ouvert quelques mois avant l'événement. L'inscription est limitée, alors assurez-vous de vous inscrire dès que possible.

4.  Matériel : Préparez votre vélo et l'équipement nécessaire. Assurez-vous que votre vélo est en bon état et adapté pour de longues distances. Pensez également à votre confort : vêtements appropriés, éclairage, GPS ou carte, etc.

5. Logistique : Organisez votre voyage vers Paris, ainsi que votre hébergement si nécessaire. Renseignez-vous sur le parcours et les points de contrôle.

6. Participation : Le jour de l'événement, assurez-vous d'arriver à l'heure, d'avoir tous vos documents et de suivre les instructions des organisateurs ...

"Si cette épreuve vous dit,  alors, enfilez votre casque, préparez vos mollets, et lancez-vous dans cette aventure qu'est le Paris-Brest-Paris à vélo" . ---> Mais sans moi !

Historique :

La première édition a eu lieu en 1976, réunissant 100 participants au départ. Cette course se déroule chaque année durant la période de l'Ascension, dans le cadre pittoresque de la campagne et du bourg de Steenwerck (59)  attirant aujourd'hui plus d'un millier de coureurs. En 2025, la 48^eme édition est prévue du 28 au 29 mai.

Au fil des années, le 100 km de Steenwerck a eu l'honneur d'accueillir :

- 3 championnats nationaux des 100 km.

- 2 championnats de France en 1995 et 2023.

- 1 championnat de Belgique en 2016.

Deux formats de course de 100 km sont proposés selon le niveau des participants :

- 100 km Course ou course de jour, limitée à 14 heures, réservée aux athlètes confirmés

- 100 km Open 24 h ou course de nuit, limitée à 24 heures, ouverte à tous.

Cette épreuve est également accessible aux marcheurs nordiques, avec le même règlement que pour les coureurs. "Pour ma part, j'ai eu l'opportunité de participer à cet événement à quatre reprises en tant que marcheur, et j'ai réussi à terminer devant certains coureurs. Voici mes performances" :

- 2014 : 17h24'45"

- 2015 : 18h41'37"

- 2016 : 18h47'16"

- 2019 : 20h10'35"

À l'occasion de la Journée internationale du sport féminin, célébrée le vendredi 24 janvier, la Fédération française de cyclotourisme met en lumière le rôle essentiel des femmes dans le monde du cyclisme.

La Fédération œuvre pour rendre la pratique du vélo accessible à toutes. Des initiatives novatrices comme « Toutes à vélo », qui célèbre le cyclisme au féminin sans esprit de compétition, témoignent de son désir de créer un environnement convivial et bienveillant.

Les défis à surmonter.

Malgré ces efforts louables, les femmes restent encore minoritaires dans les pelotons, représentant seulement 18 % des licenciés. Pourquoi cette disparité persiste-t-elle ? Plusieurs facteurs expliquent cette situation :

- Rôles traditionnels : Les stéréotypes de genre continuent d’influencer l’éducation et peuvent restreindre les opportunités sportives pour les femmes.

 - Manque de visibilité : Le cyclisme est encore largement perçu à travers un prisme masculin, notamment lors d'événements emblématiques comme le Tour de France. Toutefois, le retour du Tour féminin ouvre de nouvelles routes.

- Questions de sécurité : La perception de l'insécurité décourage de nombreuses femmes de rouler, en particulier seules ou dans des endroits isolés.

- Contrainte de temps : Les sorties de longue durée (2 à 4 heures) peuvent rendre difficile la conciliation entre la vie professionnelle, familiale et sportive.

Vers une équité dans le cyclotourisme ?

À travers des initiatives telles que les Semaines fédérales, où l’équilibre hommes-femmes est presque atteint, la Fédération continue d’ouvrir la voie vers l'égalité des sexes dans le cyclotourisme.

 

 

La ViaRhôna, reconnue comme l'une des premières véloroutes de France, a été sélectionnée pour un projet pilote visant à tester l'intégration de panneaux solaires le long de son parcours. Cette initiative s'inscrit dans une démarche de transition énergétique et vise à exploiter l'énergie solaire pour alimenter diverses infrastructures, telles que l'éclairage public et d'autres services disponibles pour les usagers de la véloroute.

Ce projet illustre l'engagement des autorités locales et des gestionnaires de la ViaRhôna en faveur des énergies renouvelables et du développement durable. En intégrant des solutions énergétiques innovantes, l'objectif est de sensibiliser le public à l'importance de la durabilité et de réduire l'empreinte écologique des infrastructures de loisirs.

 

Le lac d'Annecy, surnommé le « lac bleu », constitue un véritable écrin pour les passionnés de cyclisme et les amoureux de la nature. Le tour du lac à vélo s'étend sur près de 45 kilomètres (Véloroute).

Un parcours accessible à tous.
Ce circuit, principalement plat agrémenté de quelques légères ondulations, convient à un large éventail de cyclistes, des familles aux novices. Les pistes cyclables, bien signalées, assurent une circulation fluide et sécurisée. Il est recommandé de prévoir entre 2 et 5 heures pour compléter le trajet.

Point de départ.
Le parcours débute à Annecy, où les cyclistes peuvent apprécier le charme pittoresque de la vieille ville avant d'explorer des sites emblématiques tels que le Château de Menthon. En longeant les rives du lac, une pause s'impose sur les plages accueillantes ou aux panoramas à couper le souffle. De petites escales pour se restaurer ou se désaltérer sont également envisageables dans les villages environnants.

Période de l'année.
La période idéale pour entreprendre ce tour s'étend de mai à septembre, lorsque le climat est particulièrement clément. Il est toutefois conseillé de planifier votre sortie en début ou en fin de journée pour éviter la foule.

Sécurité avant tout.
Bien que le parcours soit relativement simple, il est crucial de porter un casque et de respecter les règles de circulation. Les cyclistes doivent également rester vigilants envers les autres usagers de la route, notamment les piétons et les familles avec enfants.

 

 

 

Amateurs de VTT et d’aventures en pleine nature, explorez les trésors du Parc naturel régional de l’Avesnois grâce à cette boucle de 50 km.

Avec ses 402 mètres de dénivelé positif, ce circuit VTT est considéré comme difficile, il est donc réservé aux cyclistes expérimentés en quête de défi et de découvertes.

Situé à la frontière belge, entre le Nord et les Ardennes, l’Avesnois est un véritable écrin de verdure.  Ses paysages mêlent prairies bocagères, vastes forêts et cours d’eau limpides, offrant un cadre unique pour la pratique du VTT. Classé Parc naturel régional en 1998, ce territoire préservé regorge de richesses naturelles, culturelles et gastronomiques.

Avec ses circuits thématiques, l’Avesnois est un véritable terrain de jeu pour les vététistes en quête d’immersion dans la nature.

Ce circuit vous emmène à la découverte des méandres de l’Helpe Majeure, un cours d’eau qui serpente au cœur du bocage Avesnois.

Le programme:

- Une longue balade : un parcours exigeant en termes d’endurance, avec quelques passages boueux et des ornières, parfaits pour tester vos capacités physiques.

- Des paysages variés : alternance de prairies, forêts et chemins bordés de haies.

- L’ancienne voie ferrée : une partie du tracé emprunte une ancienne voie ferrée transformée en axe vert, idéale pour une fin de parcours plus roulante.

Bien que le circuit présente quelques difficultés techniques, la distance et les conditions météorologiques peuvent le rendre exigeant pour les non-initiés. Une bonne préparation est donc essentielle.

 

Pour profiter du vélo dans les meilleures conditions, il est super important de porter une tenue adéquate. Voici ce qu’il vous faut :

- Casque : D’abord, n’oubliez pas le casque ! Il doit être homologué pour bien protéger votre tête en cas de chute (et c'est de toute façon obligatoire en compétition).

Vêtements de cyclisme :

- Maillot : Choisissez un maillot en tissu technique, comme le polyester. Il est léger et évacue bien la transpiration, ce qui est vraiment top pour rester à l’aise pendant l’effort.

- Cuissard : Un bon cuissard rembourré, c’est l’idéal pour éviter les frottements et profiter d’un maximum de confort sur les longues sorties.

- Gants : Des gants de cyclisme, ça offre une bonne protection et une meilleure adhérence. En plus, ça aide à réduire la fatigue des mains.

- Chaussettes : Optez pour des chaussettes de cyclisme, faites dans des matières techniques qui évacuent l’humidité. Vos pieds vous diront merci !

- Chaussures : Les chaussures de cyclisme, surtout celles compatibles avec des pédales automatiques, permettent de mieux transférer la puissance et de garantir un bon confort.

- Lunettes : N’oubliez pas les lunettes ! Elles protègent vos yeux des rayons UV, du vent et des petits débris.

- Veste ou coupe-vent : Selon la météo, une petite veste légère ou un coupe-vent peut être super utile pour se préserver du froid et du vent.

- Éléments réfléchissants : Si vous roulez quand il fait sombre, n’hésitez pas à mettre des vêtements ou accessoires avec des éléments réfléchissants pour être bien visible.

Si vous suivez ces conseils, vous serez prêt à kiffer votre sortie à vélo en toute sécurité et confort. Alors, enfourchez votre vélo et partez à l’aventure !

Voici un défi sportif tout en explorant l'histoire médiévale . La boucle gravel intitulée "Sur les traces médiévales" un parcours de 58 km au cœur de la Normandie, plus précisément dans le département de l’Eure (27).

Le point de départ de cette aventure est Pont-Audemer, une ville pittoresque située dans la vallée de la Risle, à seulement une heure et demie de Paris. Ce circuit permettra de découvrir les trésors naturels et historiques de la région, notamment :

• Campigny, célèbre pour ses éoliennes, marquant le point culminant d'un parcours exaltant.

• Le vallon des Sarrasins, abritant une fontaine mystérieuse au sein d'un écrin de nature.

 • Condé, qui présente son église romane du XIe siècle, véritable témoin de l'architecture médiévale.

 • Saint-Philbert, avec son prieuré au riche passé historique.

 • Montfort-sur-Risle, dominé par son impressionnant château médiéval.

 • La forêt domaniale, offrant une immersion authentique dans la nature normande.

La boucle se conclura  à Manneville, avant de revenir à Pont-Audemer, marquant ainsi la fin de cette escapade de 58 km. Cette initiative est proposée par l'ACPA, le club de cyclotourisme de Pont-Audemer, est affilié à la Fédération Française de Cyclotourisme.

Dans le monde du cyclisme, le rasage des jambes est une pratique courante qui suscite de nombreuses interrogations. Que l'on soit professionnel, amateur ou simplement passionné de balades à vélo, les raisons qui poussent à adopter cette habitude varient considérablement. Voici un tour d’horizon des motivations derrière ce phénomène.

- Un choix esthétique.
Pour beaucoup de cyclistes, avoir des jambes rasées est avant tout une question d’apparence. Cette tendance est perçue comme un signe distinctif de l'élite du cyclisme, permettant de s'identifier à un groupe de coureurs professionnels. L’idée est simple : des jambes lisses évoquent une image de sérieux et de dévouement au sport.

- L'influence des pairs.
Il n’est pas rare de constater que les cyclistes adoptent certains comportements en raison de la pression sociale. Dans un groupe, il est plus facile de se conformer aux normes établies. Ainsi, un cycliste qui ne se rase pas les jambes pourrait facilement se sentir à l’écart lors des sorties en groupe, renforçant l'idée que le rasage est une forme d’appartenance à la communauté cycliste.

- Praticité en matière de soins.
Les professionnels de la santé, tels que les masseurs et les physiothérapeutes, soulignent que des jambes rasées facilitent grandement les soins post-effort. En effet, l’absence de poils permet une application plus efficace des crèmes de massage et favorise une récupération musculaire plus rapide.

- Prévention des blessures.
Un autre aspect souvent cité est la sécurité. En cas de chute, des jambes rasées permettent un traitement plus efficace des blessures. Cela facilite le nettoyage et la désinfection des plaies, réduisant ainsi le risque d’infections et favorisant une cicatrisation accélérée.

- Gestion de la chaleur corporelle.
Du point de vue du confort, le rasage des jambes peut également jouer un rôle significatif dans la régulation de la température corporelle. En effet, l’absence de poils favorise l’évaporation de la sueur, ce qui peut rendre les longues sorties en vélo plus agréables, surtout par temps chaud.

- Performance sportive.
Enfin, bien que l'impact du rasage sur la performance soit souvent débattu, il reste une réalité pour de nombreux cyclistes. Si les gains aérodynamiques sont minimes, pour les professionnels, la question du confort et de la prévention des blessures prime. Pour les amateurs, le rasage est souvent plus une question d'esthétique et de camaraderie que de performance pure.

- Le mot de la fin: En gros, le rasage des jambes pour les cyclistes, c’est pas juste une question de look. C’est un mélange de trucs sociaux, pratiques, et un brin de psychologie, on va pas se mentir. Que l'on soit un pro ou juste un gars qui pédale le dimanche, cette habitude continue de faire parler d’elle et de piquer la curiosité des gens.

 

Les vêtements de cyclisme, bien qu'élaborés pour optimiser l'aérodynamisme et le confort, présentent néanmoins certaines limites en matière de protection, et ce, pour plusieurs raisons :

Matériaux légers : La majorité des tenues de cyclisme sont confectionnées à partir de tissus légers et respirants, visant à maximiser le confort et la performance. Toutefois, ces matériaux offrent souvent une protection insuffisante contre les impacts ou les abrasions en cas de chute.

Coupe ajustée : Les vêtements de cyclisme sont généralement conçus avec une coupe ajustée afin de réduire la résistance à l'air. Cette approche peut cependant restreindre la couverture et la protection, en particulier dans les zones vulnérables du corps.

Absence de renforts : À l'inverse d'autres disciplines sportives telles que la moto ou le ski, les tenues de cyclisme manquent souvent de renforts ou de protections intégrées aux endroits stratégiques, tels que les coudes, les genoux ou les épaules.

Exposition aux éléments : Les cyclistes sont fréquemment exposés à des conditions climatiques variées, telles que le vent, la pluie ou le froid. Bien que certaines tenues soient conçues pour être résistantes à l'eau ou offrant une isolation, elles ne garantissent pas une protection adéquate contre les accidents.

Risque de chutes : En raison de la nature du cyclisme, les cyclistes peuvent être sujets à des chutes à des vitesses élevées. Bien que la conception des tenues soit axée sur la performance, elle ne prend pas toujours en compte les aspects de sécurité en cas d'accident.

Pour améliorer leur niveau de protection, de nombreux cyclistes optent pour des vêtements comportant des protections intégrées, tels que des gilets ou des vestes rembourrées, ou choisissent d'utiliser des équipements de sécurité supplémentaires, tels que gants et des genouillères...