Sous les cimes, murmures du vent,
La forêt s'éveille, un écrin vivant.
Rochers et sentiers, histoires tissées,
Nature éternelle, douce sérénité.

Le Château de Nemours, gardien des lieux,
Ses pierres racontent des histoires enchanteresses,
Des échos de rires, de combats, de tendresses.

Les ombres des ancêtres, sur les murs s'étirent,
Dans les jardins fleuris, les souvenirs respirent,
Chaque brique, chaque voûte, un poème à découvrir,
Là où le temps suspend son vol, prêt à s’épanouir.

Dans le champ, un veau s’ébat,
Sous le ciel, il danse et patauge,
L’herbe fraîche, son doux repas,
Liberté sur ce doux verdois.

La forêt, dense et mystérieuse, abritait une voie ferrée oubliée, laissée à l'abandon depuis des années. Les ronces et les fougères avaient envahi les rails, mais l'écho d'un passé révolu résonnait encore dans l'air. Parfois, un bruit de locomotive se faisait entendre, comme un souvenir lointain cherchant à percer le silence des arbres. Ce lieu, à la croisée des chemins, racontait des histoires de voyageurs d’autrefois et de la nature qui reprenait ses droits.