Pour profiter du vélo dans les meilleures conditions, il est super important de porter une tenue adéquate. Voici ce qu’il vous faut :
- Casque : D’abord, n’oubliez pas le casque ! Il doit être homologué pour bien protéger votre tête en cas de chute (et c'est de toute façon obligatoire en compétition).
Vêtements de cyclisme :
- Maillot : Choisissez un maillot en tissu technique, comme le polyester. Il est léger et évacue bien la transpiration, ce qui est vraiment top pour rester à l’aise pendant l’effort.
- Cuissard : Un bon cuissard rembourré, c’est l’idéal pour éviter les frottements et profiter d’un maximum de confort sur les longues sorties.
- Gants : Des gants de cyclisme, ça offre une bonne protection et une meilleure adhérence. En plus, ça aide à réduire la fatigue des mains.
- Chaussettes : Optez pour des chaussettes de cyclisme, faites dans des matières techniques qui évacuent l’humidité. Vos pieds vous diront merci !
- Chaussures : Les chaussures de cyclisme, surtout celles compatibles avec des pédales automatiques, permettent de mieux transférer la puissance et de garantir un bon confort.
- Lunettes : N’oubliez pas les lunettes ! Elles protègent vos yeux des rayons UV, du vent et des petits débris.
- Veste ou coupe-vent : Selon la météo, une petite veste légère ou un coupe-vent peut être super utile pour se préserver du froid et du vent.
- Éléments réfléchissants : Si vous roulez quand il fait sombre, n’hésitez pas à mettre des vêtements ou accessoires avec des éléments réfléchissants pour être bien visible.
Si vous suivez ces conseils, vous serez prêt à kiffer votre sortie à vélo en toute sécurité et confort. Alors, enfourchez votre vélo et partez à l’aventure !
Le point de départ de cette aventure est Pont-Audemer, une ville pittoresque située dans la vallée de la Risle, à seulement une heure et demie de Paris. Ce circuit permettra de découvrir les trésors naturels et historiques de la région, notamment :
• Campigny, célèbre pour ses éoliennes, marquant le point culminant d'un parcours exaltant.
• Le vallon des Sarrasins, abritant une fontaine mystérieuse au sein d'un écrin de nature.
• Condé, qui présente son église romane du XIe siècle, véritable témoin de l'architecture médiévale.
• Saint-Philbert, avec son prieuré au riche passé historique.
• Montfort-sur-Risle, dominé par son impressionnant château médiéval.
• La forêt domaniale, offrant une immersion authentique dans la nature normande.
La boucle se conclura à Manneville, avant de revenir à Pont-Audemer, marquant ainsi la fin de cette escapade de 58 km. Cette initiative est proposée par l'ACPA, le club de cyclotourisme de Pont-Audemer, est affilié à la Fédération Française de Cyclotourisme.
On ne s'y attendait pas, mais l'expression "plan vélo" est bel et bien sortie de la bouche du nouveau Premier ministre François Bayrou lors de son discours de politique générale ce 14 janvier 2025. " Le plan vélo" doit être poursuivi avec les moyens qui lui sont nécessaires », a indiqué le nouveau locataire de Matignon. Une annonce qui surprend, alors que ce programme semblait avoir été abandonné sous le gouvernement précédent.
Lancé en mai 2023 sous l’impulsion d’Élisabeth Borne, ce plan vélo avait pour ambition de "révolutionner" la pratique du vélo en France. Avec un budget de 250 millions d’euros annuels pour les mobilités actives durant cinq ans, il visait à développer les infrastructures cyclables, soutenir les usagers dans l’achat de vélos et renforcer la filière vélo française.
Pourtant, lors des discussions budgétaires à l’automne 2024, ce plan semblait avoir fait les frais des coupes budgétaires décidées par le gouvernement Barnier. Une situation qui avait suscité l'inquiétude des associations cyclistes et des professionnels du secteur. Les aides à l'achat vélo devaient elles aussi voir leur fin arriver en février 2025. Il convient de suivre ce dossier de près.
- Un
choix esthétique.
Pour beaucoup de cyclistes, avoir des jambes rasées est avant tout une question
d’apparence. Cette tendance est perçue comme un signe distinctif de l'élite du
cyclisme, permettant de s'identifier à un groupe de coureurs professionnels.
L’idée est simple : des jambes lisses évoquent une image de sérieux et de
dévouement au sport.
- L'influence
des pairs.
Il n’est pas rare de constater que les cyclistes adoptent certains
comportements en raison de la pression sociale. Dans un groupe, il est plus
facile de se conformer aux normes établies. Ainsi, un cycliste qui ne se rase
pas les jambes pourrait facilement se sentir à l’écart lors des sorties en
groupe, renforçant l'idée que le rasage est une forme d’appartenance à la
communauté cycliste.
- Praticité
en matière de soins.
Les professionnels de la santé, tels que les masseurs et les physiothérapeutes,
soulignent que des jambes rasées facilitent grandement les soins post-effort.
En effet, l’absence de poils permet une application plus efficace des crèmes de
massage et favorise une récupération musculaire plus rapide.
- Prévention
des blessures.
Un autre aspect souvent cité est la sécurité. En cas de chute, des jambes
rasées permettent un traitement plus efficace des blessures. Cela facilite le
nettoyage et la désinfection des plaies, réduisant ainsi le risque d’infections
et favorisant une cicatrisation accélérée.
- Gestion
de la chaleur corporelle.
Du point de vue du confort, le rasage des jambes peut également jouer un rôle
significatif dans la régulation de la température corporelle. En effet,
l’absence de poils favorise l’évaporation de la sueur, ce qui peut rendre les
longues sorties en vélo plus agréables, surtout par temps chaud.
- Performance
sportive.
Enfin, bien que l'impact du rasage sur la performance soit souvent débattu, il
reste une réalité pour de nombreux cyclistes. Si les gains aérodynamiques sont
minimes, pour les professionnels, la question du confort et de la prévention
des blessures prime. Pour les amateurs, le rasage est souvent plus une question
d'esthétique et de camaraderie que de performance pure.
- Le mot de la fin: En gros, le rasage des jambes pour les cyclistes, c’est pas juste une question de look. C’est un mélange de trucs sociaux, pratiques, et un brin de psychologie, on va pas se mentir. Que l'on soit un pro ou juste un gars qui pédale le dimanche, cette habitude continue de faire parler d’elle et de piquer la curiosité des gens.
Les vêtements de cyclisme, bien qu'élaborés pour optimiser l'aérodynamisme et le confort, présentent néanmoins certaines limites en matière de protection, et ce, pour plusieurs raisons :
Matériaux légers : La majorité des tenues de cyclisme sont confectionnées à partir de tissus légers et respirants, visant à maximiser le confort et la performance. Toutefois, ces matériaux offrent souvent une protection insuffisante contre les impacts ou les abrasions en cas de chute.
Coupe ajustée : Les vêtements de cyclisme sont généralement conçus avec une coupe ajustée afin de réduire la résistance à l'air. Cette approche peut cependant restreindre la couverture et la protection, en particulier dans les zones vulnérables du corps.
Absence de renforts : À l'inverse d'autres disciplines sportives telles que la moto ou le ski, les tenues de cyclisme manquent souvent de renforts ou de protections intégrées aux endroits stratégiques, tels que les coudes, les genoux ou les épaules.
Exposition aux éléments : Les cyclistes sont fréquemment exposés à des conditions climatiques variées, telles que le vent, la pluie ou le froid. Bien que certaines tenues soient conçues pour être résistantes à l'eau ou offrant une isolation, elles ne garantissent pas une protection adéquate contre les accidents.
Risque de chutes : En raison de la nature du cyclisme, les cyclistes peuvent être sujets à des chutes à des vitesses élevées. Bien que la conception des tenues soit axée sur la performance, elle ne prend pas toujours en compte les aspects de sécurité en cas d'accident.
Pour améliorer leur niveau de protection, de nombreux cyclistes optent pour des vêtements comportant des protections intégrées, tels que des gilets ou des vestes rembourrées, ou choisissent d'utiliser des équipements de sécurité supplémentaires, tels que gants et des genouillères...
Faire partie d'un club sportif, c'est souvent une super expérience, mais ça peut aussi avoir ses petits inconvénients. Voici un aperçu de ce qui vous attend si vous décidez de devenir licencié !
Les Plus :
· Un Bon Encadrement : Les clubs ont généralement des entraîneurs pro qui savent de quoi ils parlent. C'est l'occasion parfaite pour améliorer vos compétences et devenir meilleur dans votre sport préféré.
· Accès à de super Installations : En tant que licencié, vous avez souvent accès à des terrains, des gymnases et des équipements de qualité. Idéal pour s’entraîner comme un pro !
· Des Compétitions Sympas : Les clubs organisent pas mal d'événements et de compétitions. C’est une excellente façon de se mesurer à d'autres équipes et de se dépasser.
· Un Esprit d'Équipe : Faire partie d'un club, c’est aussi rencontrer des gens et créer des liens. L'esprit d'équipe, c'est quelque chose d'important qui vous donne l'envie de revenir.
· Des Avantages Financiers : Souvent, les clubs proposent des réductions sur les frais d’inscription ou des bons plans pour des équipements. Ça fait toujours plaisir de faire des économies !
Les Moins :
· Un Temps à investir : Être licencié, ça demande un certain engagement en termes d’entraînements et de compétitions. Pas toujours évident quand on a un emploi du temps chargé !
· La Pression de la Compétition : Parfois, la compétition peut mettre un peu de pression. Si les résultats ne sont pas au rendez-vous, ça peut créer un peu de stress.
· Des Coûts à Prendre en Compte : Les cotisations annuelles et les frais d'inscription peuvent représenter un petit budget. À gérer pour éviter les surprises !
· Règles à Respecter : Chaque club a ses propres règles concernant les comportements et les engagements. Ça peut paraître un peu strict, mais c’est souvent pour le bien de tous.
· Des petits conflits : Comme dans n'importe quel groupe, il peut y avoir des rivalités ou des tensions entre membres.
En gros, être licencié dans un club sportif peut vraiment être enrichissant, mais il faut aussi être prêt à gérer quelques petites contraintes.
J 'ai eu l'honneur de participer à ma première compétition de marche nordique le 1er mai 2009, dans le cadre du 11ème marathon de Sénart, appelé "la SENARTAISE", qui ouvrait ses portes aux marcheurs nordiques pour la quatrième année consécutive. Nous étions 76 marcheurs inscrits, prenant le départ devant des spectateurs, visiblement surpris par notre équipement atypique.
À cette époque, je n'étais ni licencié ni entraîneur ; j'étais simplement un marcheur anonyme désireux d'expérimenter cette nouvelle discipline.
Observations.
Au cours de mes premières saisons de pratique, j'ai été frappé par le nombre de participants arborant des tenues inadaptées, telles que de la laine, du coton ou des imperméables, probablement en raison d'un manque d'information. Quant aux chaussures, il en allait de même : beaucoup optaient pour des modèles de montagne ou des baskets de course, le choix étant limité sur le marché pour cette discipline à cette époque.
Concernant les bâtons, il était évident que la majorité utilisait des modèles conçus pour la randonnée traditionnelle, ce qui n'était pas approprié. En ce qui concerne les gestes techniques, en compétition, le niveau de préparation était déplorable ; il était nécessaire de rappeler à l'ordre certains participants peu scrupuleux. L’aspect technique de la pratique semblait leur être totalement inconnu, malgré les règlements en vigueur.
Heureusement, avec le temps, ces lacunes ont été rectifiées grâce à l'engagement de la Fédération Française d’Athlétisme, qui, au cours de la même année, a obtenu la délégation ministérielle pour la promotion, la formation et l’encadrement de la marche nordique, tant sur le plan réglementaire que compétitif. La marche nordique en compétition a été officiellement lancée par la FFA au début de l'année 2014.
Nouveaux produits.
Progressivement, des équipements plus adaptés à la marche nordique ont fait leur apparition sur le marché, principalement inspirés des domaines de la course à pied et du cyclisme. Parmi ces nouveautés, on trouve :
- Des tenues techniques (haut, bas, bonneterie) ; plusieurs gammes de textiles respirant, déperlant et imperméables, tels que le Gore-Tex, sont désormais proposées par les grandes marques sportives.
- Des chaussures : les équipementiers ont enfin comblé leur retard dans ce secteur, offrant une multitude de modèles au fil des saisons.
- Des bâtons spécifiquement conçus pour notre discipline, avec l'intérêt croissant des grandes marques pour ce marché.
- Des accessoires d'hydratation, tels que des Camelbak et des ceintures porte-bidon. (Cette liste n'est pas exhaustive)
Apparition des nouvelles technologies.
- Les montres GPS dotées de nombreuses fonctionnalités.
- Les Smartphones, permettant de télécharger des applications dédiées aux sportifs pour suivre leur progression etc ..
En résumé.
La marche nordique a vraiment pris son envol ! Maintenant, c’est une activité populaire et accessible à tout le monde. Avec des pros pour encadrer et du matos de qualité, on peut profiter pleinement des bienfaits de cette pratique.
Le Fast Hiking, également désigné sous le terme de randonnée rapide, représente une activité qui fusionne les aspects de la randonnée traditionnelle avec ceux de la course à pied. Il s'agit d'une pratique de plein air où les participants évoluent à un rythme soutenu sur des sentiers variés, souvent en milieu montagneux ou sur des terrains accidentés.
Voici quelques caractéristiques clés du Fast Hiking :
1. Rythme élevé : Les pratiquants se déplacent à une vitesse supérieure à celle d'une randonnée classique, ce qui exige une bonne condition physique ainsi qu'un entraînement adéquat.
2. Équipement léger : Les adeptes du Fast Hiking privilégient des équipements légers et compacts, tels que des chaussures de trail et des sacs à dos minimalistes, afin de faciliter leurs mouvements.
3. Terrains diversifiés : Le Fast Hiking peut être pratiqué sur différents types de terrains, comprenant des sentiers de montagne, des forêts et des parcs.
4. Durée et distance variables : Les parcours peuvent varier en fonction de la durée et de la distance, allant de quelques heures à des randonnées d'une journée complète, voire davantage.
5. Aspect sportif : Outre son caractère récréatif, le Fast Hiking est reconnu comme un excellent exercice cardiovasculaire, contribuant à l'amélioration de l'endurance, de la force et de l'agilité.
Cette activité attire un nombre croissant d'amateurs de plein air désireux de combiner l'effort physique avec la découverte de la nature. Cette activité fait partie intégrante de la Fédération Française de Randonnée (F.F.Randonnée).
Pour faire simple. Un vélo à assistance électrique (VAE) est un type de vélo équipé d'un moteur électrique qui aide le cycliste lors de ses déplacements. Voici les principales caractéristiques :
- Moteur : Le VAE est doté d'un moteur électrique, généralement situé dans le moyeu de la roue avant ou arrière, ou intégré dans le pédalier. Ce moteur fournit une assistance au pédalage, ce qui facilite les montées et les longs trajets.
- Batterie: Le vélo est alimenté par une batterie rechargeable, dont l'autonomie peut varier en fonction de la capacité de la batterie, du terrain, du poids du cycliste et du niveau d'assistance choisi.
- Modes d'assistance : La plupart des VAE offrent plusieurs niveaux d'assistance, permettant au cycliste de choisir le degré d'aide fourni par le moteur, ce qui permet d'adapter l'effort en fonction des conditions de conduite.
- Légalités : Dans de nombreux pays, un VAE est considéré comme un vélo, tant que la puissance du moteur ne dépasse pas 250 watts et que l'assistance ne fonctionne que lorsque le cycliste pédale. Au-delà de ces limites, le vélo peut être classé comme un cyclomoteur, nécessitant des réglementations différentes.
- Avantages : Les VAE sont appréciés pour leur capacité à rendre le cyclisme accessible à un plus large public, en permettant de parcourir de plus longues distances, d'affronter des terrains difficiles et de réduire la fatigue, ce qui peut encourager davantage de personnes à utiliser le vélo comme moyen de transport.
En résumé, un vélo à assistance électrique combine les avantages du cyclisme traditionnel avec le soutien d'un moteur, ce qui en fait une option attrayante pour de nombreux utilisateurs.
Commentaires
olibrius le 19-01-2025 à 10:08:55 # (site)
et bien, c' est autant que pour la moto, mais il est vrai qu'on est exposé en vélo aussi !
Bon dimanche
amitié