Sur les 10 kilomètres de la voie verte PassaPaïs, reliant Bédarieux au Poujol-sur-Orb, un homme veille discrètement sur la beauté de ces paysages. Julio, figure modeste mais indispensable, est un cycliste infatigable et un citoyen engagé. Il parcourt cette bande de verdure à bord de son vélo, attelé à une carriole, mais ce n’est pas pour le loisir qu’il pédale : c’est pour nettoyer.
Tandis que certains passent sans prêter attention, Julio s’arrête et agit. Sans mandat officiel, sans uniforme ni badge, il ramasse les déchets abandonnés par des promeneurs peu respectueux de la nature. Son geste peut sembler simple, mais son impact est considérable. À Hérépian, un panneau manuscrit, cloué sous des enseignes officielles, interpelle les passants : « La nature n’est pas une poubelle… " merci, soyez respectueux ".
Ce message, écrit de sa main, est à la fois un cri du cœur et un appel à la conscience collective. Il ne sermonne pas, il invite ; il ne condamne pas, il espère.
Julio ne cherche ni reconnaissance ni récompense. Il incarne une forme rare de civisme : celui qui agit sans attendre de contrepartie. Les habitués de la voie verte le croisent parfois, silhouette discrète mais emblématique, et certains s’arrêtent pour échanger quelques mots, le remercier ou simplement l’écouter.
Son action rappelle que préserver la nature commence par des gestes simples. Et que, parfois, un homme seul peut accomplir plus qu’une campagne de sensibilisation.
Reliant Bédarieux au Poujol-sur-Orb, un homme veille discrètement sur la beauté de ces paysages. Julio, figure modeste mais indispensable, est un cycliste infatigable et un citoyen engagé. Il parcourt cette bande de verdure à bord de son vélo, attelé à une carriole, mais ce n’est pas pour le loisir qu’il pédale : c’est pour nettoyer.
Tandis que certains passent sans prêter attention, Julio s’arrête et agit. Sans mandat officiel, sans uniforme ni badge, il ramasse les déchets abandonnés par des promeneurs peu respectueux de la nature. Son geste peut sembler simple, mais son impact est considérable. À Hérépian, un panneau manuscrit, cloué sous des enseignes officielles, interpelle les passants : « La nature n’est pas une poubelle… merci, soyez respectueux. »
Ce message, écrit de sa main, est à la fois un cri du cœur et un appel à la conscience collective. Il ne sermonne pas, il invite ; il ne condamne pas, il espère.
Julio ne cherche ni reconnaissance ni récompense. Il incarne une forme rare de civisme : celui qui agit sans attendre de contrepartie. Les habitués de la voie verte le croisent parfois, silhouette discrète mais emblématique, et certains s’arrêtent pour échanger quelques mots, le remercier ou simplement l’écouter.
Son action rappelle que préserver la nature commence par des gestes simples. Et que, parfois, un homme seul peut accomplir plus qu’une campagne de sensibilisation.
Commentaires
Les gens sont dégueulasses. Bravo à cet homme.
C'est un gars bien cet homme
il est bien courageux, et il a raison, il faut protéger l' environnement
Bon retour de vacances
Amitié